Le commerce de drogues illicites est l’une des activités criminelles les plus dynamiques au niveau mondial d'après https://www.interpol.in De plus, ce marché est la source de conflits, de guerres et de règlements de comptes impliquant parfois des gangs. Nous pouvons prendre l'exemple de Marseille, très belle ville certes, mais lieu de violence et de trafic de drogue. De janvier à août 2021 on rescence environ une quinzaine de décès, la plus part avaient moins de trente ans, un en avait quatorze. Les adolescents y sont enrolés de plus en plus jeunes, ils servent souvent de "guetteur". Et, même s'ils sont volontaires, ils sont tous les jours en danger, ils risquent la prison pour mineur, de blessures très graves ou même la mort. Quand on passe en bus le soir à 18h00 et qu'on voit des ados, non des enfants, de treize ou quatorze ans qui restent là, seul, à attendre des "clients", on se dit que pendant qu'on va en cours ( dans notre cas ) d'autres plus jeunes que nous risque leur vie.
Maintenant parlons des clients ou des consommateurs : les plus importants de tout ce réseaux. En effet, sans eux, pas de production, pas de vente, pas de morts. Il faut savoir que lorsque vous consommez de la drogue il y a forcément quelqu'un derrière qui a fait le sale boulo, et peut-être que, sans le savoir/vouloir, vous avez du sang sur les mains. Mais, comme vous le savez sûrement, le mot drogue est synonyme de dépendance. Cela veut dire que vous ne pouvez plus vous en passer, c'est donc un cercle vicieux : les clients consomment toujours plus, donc les dealeurs gagnent plus et par conséquent produisent plus et finissent par vendre plus ce qui créer encore plus d'addiction... En suite, lorsque l'on commence à consommer jeune, notre cerveau est plus vulnérable aux addictions. Les drogues comme le cannabis peuvent même entraîner des troubles psychiatriques et le risque de développer à l’âge adulte une maladie de type schizophrénique est multiplié par trois. Le cannbis est la première drogue illicite expérimenté par les adolescents en 2014.Cela commence dès la fin du collège. Un élève sur dix en quatrième, un sur quatre en troisième et un sur deux en seconde a déjà fumé un joint. En 2014 la France figure parmi les pays où la consommation de drogue chez les adolescents reste la plus élevée. 7 % des élèves de terminale en font un usage régulier. Ceux-là font face à des troubles de l'attention, un temps de réaction plus long ou un disfonctionnement de la mémoire de travail. Ces problèmes peuvent disparaître lorsque l'on arrête de consommer, «Mais chez les jeunes qui ont commencé avant 15 ans, certains troubles peuvent persister», d'après docteur Alain Dervaux, psychiatre à l'hôpital Saint-Anne intérrogé dans lefigaro.fr
Malheureusement, on ne consomme pas toujours la drogue volontairement... Le GHB ou la "drogue du viol" est utilisé pour étourdir, rendre confus et
vulnérable celui ou celle qui l'a ingéré à son insu. Les agresseur versent la drogue dans le verre de la vitime pendant une soirée et
peuvent alors abuser d'elle sans résistance.
-> pour plus de renseignement sur ce dernier paragraphe voir la page Dans quel but est-elle utilisée? Où?
Témoignages des victimes