La biodiversité mondiale est dans une situation gravissime et ce principalement à cause des actions humaines: Rien qu'en 2022, 4.1 millions d'hectares de forêt vierge ont disparus, soit la taille de la suisse et ce chiffre augmente chaque année.
Au total depuis 2001, le monde a perdu 119 millions d'hectares de forêts dans des incendies soit le double de la superficie de la France.
Chaque année entre 4,8 et 12,7 millions de tonnes de plastiques terminent dans les océans soit le poids d'une à deux pyramides de Gizeh.
Toutes ces dégradations ont des conséquences lourdes sur l'écosystème et la biodiversité:
Près de 40 000 espèces sont menacées d'extinction dans le monde dont 41% des amphibiens et 26% des mammifères.
Ce chiffre représente environ 1 espèce sur dix parmi lesquelles l’ara de Spyx,
le bouquetin des pyrénées, le rhinocéros noir d’afrique de l’ouest, le dauphin de chine, etc…
D'ici 2050, les océans pourraient contenir plus de plastique que de poissons.
D'après la Fondation Ellen MacArthur.
Les sanctions :
La pollution d'un cours d'eau en mettant en danger les poissons peut entrainer une peine de 2 ans d'emprisonnement et une amende allant jusqu'à 90 000 euros.
L'acte de jeter une cigarette de pleine nature est susceptible de déclencher un incendie et peut être puni de 1 ans de prison et 15 000 euros d'amende.
La destruction ou la capture d'animaux protégés peut entrainer une peine allant jusqu'à 3 ans de prison et 150 000 euros d'amende.
Le Point.
En 500 ans, plus de 150 000 éspèces animales ont disparues.
Les solutions :
Les pertes qu’à subit la biodiversité mondiale le sont à tout jamais mais il est encore de sauver toutes les autres espèces.
En protégeant l’environnement on sauve indirectement les espèces qui y évoluent.
A l’échelle individuelle il est possible de recycler ou d’utiliser des matériaux biodégradables dans sa consommation de tous les jours.
Ceci permet de s’assurer qu’aucun plastique ne viennent polluer l’environnement marin comme terrestre.
L’usage de véhicules n’émettant pas de CO2 (ex : vélo), au moins sur de petites distances, permet de limiter la dégradation du climat.
Il est également possible de faire un don à une organisation non-gouvernementale (qui ne dépend pas d’un pays)
spécialisée dans la protection de la faune ou de l’environnement comme c’est le cas dans les liens ci-dessous.